Voyage Rome 3èmes latinistes

Les élèves de 3èmes latinistes sont partis découvrir la belle ville de Rome du 06 au 10 janvier.

Histoire de Rome

Naissance d’une cité légendaire

L’histoire de Rome s’ancre dans un terreau chargé de mythes. On raconte que Saturne, chassé du ciel, aurait autrefois instauré l’âge d’or sur ces collines, qu’Héraklès y terrassa le géant Cacus, et qu’Énée, prince troyen en exil, y chercha refuge après la chute de sa propre cité. De cette mosaïque de récits naquit une réalité : un premier gué sur le Tibre, le « pont » idéal pour acheminer le sel depuis la mer. Dans cette zone humide et marécageuse, quelques hauteurs surgissaient : le Palatin et ses sœurs, où les bergers établirent leurs modestes cabanes.

Au VIIIe siècle av. J.-C., la population se densifia sur le Palatin. La légende fait de Romulus celui qui traça le sillon fondateur, Rome (et son histoire) était alors née. Puis vint l’influence des Étrusques, qui assainirent le site, tracèrent le Forum et bâtirent les premiers temples, avant d’être renversés en 509 av. J.-C. Face aux épreuves – invasions, combats contre les peuples voisins, ravages successifs – la jeune République grandit et finit par s’imposer comme une puissance régionale : on reconstruisit des temples et des basiliques, on édifia aqueducs et voies monumentales, et le flot des richesses capturées hors de la péninsule alimenta son essor.

Capitale du monde connu

Au Ier siècle av. J.-C., César dompta les Gaules, l’Égypte et l’Hispanie, agrandissant Rome jusqu’aux confins du monde méditerranéen. Le triomphe de César et, plus tard, le règne d’Auguste marquèrent l’avènement d’un empire fastueux : forêts de colonnes et arcs triomphaux, gigantesques thermes, nouveaux forums… L’urbanisme romain rayonnait de toute sa puissance. Puis, dans le sillage de ces bâtisseurs, Néron rêva d’une Ville entièrement façonnée à sa gloire, avant que les Flaviens ne lèguent à la postérité l’Amphithéâtre Flavien, plus célèbre sous le nom de Colisée. D’un simple gué sur un fleuve, Rome s’était métamorphosée en cœur battant d’une civilisation qui laissa son empreinte sur l’Occident.

Du passé à l’avenir, un symbole éternel

À mesure que l’Empire s’étendait vers l’Écosse ou la Palestine, Rome voyait affluer des peuples, des croyances, des richesses infinies. Les vicissitudes de l’Histoire, entre invasions barbares, exils pontificaux, Renaissance et remaniements modernes, forgèrent la Ville éternelle telle que nous la connaissons aujourd’hui : un fascinant palimpseste où se lisent trois millénaires de civilisation ininterrompue.

Et il suffit d’errer dans ses rues, de contempler ses places et ses monuments pour ressentir le souffle de ces siècles passés. Le logo de la ville, si souvent reproduit sur les plaques d’égout, les bornes, ou même les maillots sportifs, arbore les quatre lettres emblématiques : S.P.Q.R. (Senatus PopulusQue Romanus). Cette devise – « Le Sénat et le Peuple de Rome » – demeure le sceau identitaire de la ville. Elle rappelle à tous, Romains et visiteurs, que l’héritage d’hier continue de résonner dans la Rome d’aujourd’hui.

D’après Jean-Yves Boriaud, professeur de littérature latine à l’université de Nantes

Nous sommes arrivés à Rome à 8h05. Après avoir déposé les bagages à l’hôtel, nous sommes partis directement à la découverte de Rome.

En nous rendant à pied jusqu’à la basilique Sainte-Marie-Majeure, nous sommes passés devant deux lieux emblématiques :

Museo Nazionale Romano, Terme
o Historique : Le Musée National Romain (fondé à la fin du XIXe siècle) est réparti en plusieurs sites à travers la ville, dont certains s’inscrivent dans l’enceinte des anciennes Thermes de Dioclétien.
o À retenir : Les Thermes de Dioclétien (datant du début du IVe siècle) sont
considérés comme le plus grand complexe thermal jamais édifié dans l’Empire romain.
Teatro dell’Opera di Roma

o Date de fondation : Construit vers 1880, à l’initiative de Domenico Costanzi, il était autrefois appelé “Teatro Costanzi”.

o Utilité : Ce théâtre demeure l’une des salles d’opéra les plus prestigieuses d’Italie. Il accueille chaque année des représentations lyriques, des ballets et des concerts.

o Point d’intérêt : Les ornements intérieurs, de style néoclassique, et l’acoustique remarquable en font un lieu incontournable de la culture romaine.

A 12h00, nous sommes arrivés à la Basilique Sainte-Marie-Majeure

Fondation : Érigée au Ve siècle, sous le pontificat de Sixte III, elle fait partie des quatre basiliques papales majeures de Rome.
Caractéristiques : Son architecture réunit des éléments paléochrétiens, médiévaux et baroques. Les mosaïques d’époque, remarquablement préservées, sont un trésor artistique unique.

Après une pause déjeuner,

nous avons visité le Colisée, le plus grand amphithéâtre jamais construit par les Romains.

Un lac à la place du Colisée ?
Avant d’y bâtir cet amphithéâtre, il y avait un lac artificiel au cœur de la Domus Aurea (la “Maison Dorée”) de Néron. La dynastie suivante, les Flaviens (Vespasien, puis ses fils Titus et Domitien), a choisi cet emplacement pour réconcilier le peuple romain avec son gouvernement, en offrant un lieu de divertissement monumental.
Pourquoi “Colisée” ?
Le nom vient de la colossale statue de Néron (35 mètres de haut) jadis érigée près de l’amphithéâtre. Ce « colosse » a fini par donner son nom : « Colosseum », devenu “Colisée”.
Hauteur : Environ 50 mètres, soit l’équivalent d’un immeuble de plus de quinze étages.
Une ellipse, pas un cercle : Cette forme permettait une meilleure circulation des foules et offrait des perspectives différentes selon l’angle d’approche.
La façade en quatre « strates ».

Premier étage : style dorique
o Colonnes massives, chapiteaux très sobres.
o À l’origine, des arches où l’on pouvait exposer des statues ou afficher des décorations.
Deuxième étage : style ionique

o Colonnes plus élancées, reconnaissables à leurs chapiteaux à volutes (les fameuses spirales).

o On y plaçait aussi des statues ; aujourd’hui, seules subsistent les niches.

Troisième étage : style corinthien
o Chapiteaux ornés de feuilles d’acanthe, plus raffinés.
o Cet étage offrait un décor grandiose, soulignant la dimension prestigieuse de l’édifice.
Saviez-vous ?
• Les façades conservent souvent des traces de métaux arrachés. Au Moyen Âge, des habitants récupéraient les agrafes de fer pour les fondre et les réutiliser, laissant ces trous caractéristiques.
Lorsqu’on arrive devant les grandes arches numérotées, imaginez la cohue : 50 000 spectateurs pouvaient entrer, chacun ayant un accès spécifique en fonction de son rang social.
• Des portes pour l’élite : Sénateurs, magistrats, Vestales… avaient des portes réservées.
• Des portes pour le peuple : Les entrées étaient plus nombreuses, permettant un flux rapide (déjà très organisé pour l’époque).
L’arène : au cœur du spectacle
Passez les couloirs, et soudain s’ouvre devant vous l’immense espace central.
1. Le sol originel
o En bois recouvert de sable (l’arène). Le sable absorbait le sang et évitait de glisser.
o Disparu aujourd’hui, laissant voir les sous-sols, appelés l’Hypogée.
2. Les sous-sols : l’envers du décor
o Un dédale de galeries et de cages. Les animaux (loups, tigres, lions, crocodiles) pouvaient apparaître par des trappes.
o Des monte-charges à treuil (actionnés par des esclaves) faisaient surgir d’un coup décors et gladiateurs.
3. Les gradins
o Divisés en plusieurs niveaux (cavea).
o Les places les plus proches de l’arène (podium) étaient réservées aux classes supérieures. Plus on montait, plus on côtoyait le « petit peuple ». Les femmes (sauf les Vestales) se retrouvaient souvent dans la partie la plus haute.
Capacité d’accueil : Entre 50 000 et 70 000 personnes, selon les estimations.
Les spectacles romains : du divertissement… à la violence
 Les combats de gladiateurs (Munera)
o Prisonniers, esclaves ou gladiateurs professionnels s’y affrontaient, parfois jusqu’à la mort.
o Certains gladiateurs étaient tellement adulés par les femmes qu’ils devenaient de véritables célébrités.
 Les combats d’animaux (Venationes)
o Bêtes féroces venues d’Afrique, mises en scène pour émerveiller et effrayer le public.
o Les Romains découvraient ainsi faune et flore exotiques, sur fond de chasse spectaculaire.
 Les naumachies (batailles navales)
o Rare et controversé : il semble qu’une unique « naumachie » aurait été organisée lors de l’inauguration, nécessitant d’inonder l’arène.
o La légende raconte qu’on y reproduisait de vrais navires de guerre, mais certains historiens doutent de la faisabilité d’un tel dispositif, vu les risques pour les sous-sols.
 Le fameux pouce levé ou baissé
o Souvent attribué à la décision « Vie ou mort » : en réalité, l’expression « Pollice Verso » (pouce retourné) est en partie une interprétation artistique du XIXe siècle.
o Dans la Rome antique, on criait plutôt “Mitte !” (laisse-le !) ou “Iugula !” (égorge-le !) pour guider l’empereur.
Anecdotes et évolution à travers les siècles
Emperor Commode, adepte des combats : il descendait parfois lui-même dans l’arène, mais les combats étaient truqués pour qu’il en ressorte vainqueur.
La fin des gladiateurs : Les combats se raréfient sous l’empereur Trajan (IIe siècle), puis disparaissent sous Constantin, converti au christianisme.
Pillage et transformations :
o Au Moyen Âge, le Colisée est tour à tour forteresse pour la famille
Frangipanni et carrière de pierre pour construire d’autres édifices (dont la
basilique Saint-Pierre).
o Plus tard, pour le protéger, des papes l’associent à des légendes de martyrs chrétiens, accrochant une croix au-dessus de l’arène. • Concerts et illuminations modernes :
o Paul McCartney, Andrea Bocelli y ont chanté.
o Depuis l’an 2000, quand un pays renonce à la peine de mort, on illumine le Colisée pour célébrer la nouvelle.
Le Colisée n’est pas qu’un simple monument : c’est un symbole. Symbole de la Rome antique, de son goût pour le spectaculaire, mais aussi de son ingéniosité architecturale. Au fil des siècles, l’amphithéâtre a survécu à des tremblements de terre, aux pillages et aux guerres, devenant un emblème de résilience et de continuité historique.
Aujourd’hui, il figure parmi les sept nouvelles merveilles du monde et reste l’un des sites les plus visités de la planète. Chaque pierre, chaque arc, chaque galerie raconte un fragment de son histoire mouvementée.
Nous nous sommes ensuite rendus au Forum Romain & Circus Maximus
Forum Romain
o Origine : Centre politique, religieux et judiciaire de la Rome antique, son
aménagement débute dès le VIIe siècle av. J.-C.
o Visite : Vous pourrez admirer les colonnes, arcs de triomphe, vestiges de temples et basiliques qui racontent l’histoire pluriséculaire de la cité.
Quatrième étage
o Mur plein, percé de fenêtres.
o Vous apercevrez parfois des trous où s’inséraient les mâts supportant le « velarium », l’immense toile servant de toit amovible pour protéger les spectateurs.

Circus Maximus

o Date de fondation : Conçu à l’origine par les rois étrusques au VIe siècle av. J.- C., puis agrandi sous Jules César et les empereurs.

o Utilité : Immense stade dédié aux courses de chars, pouvant accueillir jusqu’à 250 000 spectateurs.

o Anecdote : Il reste aujourd’hui un vaste espace vert, offrant une vue imprenable sur le Palatin et les ruines de la Rome impériale.

Enfin nous sommes retournés à l’hôtel profiter d’un repos bien mérité avant de commencer la deuxième journée.

IMMERSION AU CŒUR DU VATICAN ET DES PLACES EMBLÉMATIQUES

8h00 – Musée du Vatican et Chapelle Sixtine

Musée du Vatican
o Histoire et collections : Fondé en 1506, il renferme l’une des plus vastes et des plus précieuses collections d’art au monde. Statues antiques, peintures de maîtres, tapisseries médiévales et bien d’autres merveilles jalonnent ce parcours unique.
o Éléments incontournables : les célèbres Chambres de Raphaël et la Galerie des Cartes géographiques, où chaque pièce raconte un fragment d’histoire.
Chapelle Sixtine
o Chef-d’œuvre de Michel-Ange : Peinte au début du XVIe siècle, la voûte illustre des scènes bibliques, notamment la Création d’Adam. Le Jugement dernier, sur le mur du fond, est un autre trésor inestimable.

11h00 – Piazza Cavour

Présentation : La place doit son nom à Camillo Benso, comte de Cavour, homme d’État italien du XIXe siècle et grand artisan de l’unité italienne.
Environnement : Dominée par le monumental Palais de Justice (le “Palazzaccio”), elle s’ouvre sur un large espace agrémenté de verdure et d’une statue imposante de Cavour.
Pause déjeuner

Après-midi – Découvertes à travers Rome

1. Piazza del Popolo
o Signification : Cette “Place du Peuple” marquait autrefois l’entrée nord de la

Rome historique.
o Points forts : Son obélisque égyptien (rapporté de l’Antiquité) et les deux

églises jumelles (Santa Maria dei Miracoli et Santa Maria in Montesanto) confèrent à cet espace une grande harmonie architecturale.

Piazza di Spagna
o Célèbre pour : Ses escaliers monumentaux (la Trinità dei Monti) et sa fontaine Barcaccia, conçue par Pietro Bernini.
o Ambiance : Lieu de rendez-vous incontournable des Romains et des visiteurs du monde entier, elle est bordée de boutiques de luxe et d’anciennes demeures d’artistes.
Via Veneto
o Histoire : Symbole de la “Dolce Vita” dans les années 1960, cette avenue élégante a accueilli les tournages de films légendaires et les soirées fastueuses de la jet-set.

4. Porta Pia
o Origine : Conçue par Michel-Ange à la demande du pape Pie IV, elle fut édifiée entre 1561 et 1565 dans l’enceinte des murs auréliens.
o Rôle historique : Elle reste célèbre pour avoir été le théâtre de la brèche qui permit l’entrée des troupes italiennes en 1870, scellant ainsi l’annexion de Rome au jeune royaume d’Italie.

Retour à l’hôtel puis ballade nocturne.

Matinée – À la découverte des places et édifices prestigieux

1. Piazza di San Bernardo
o Situation : Entourée d’édifices baroques, cette place se distingue par la fontaine dédiée à Saint Bernard, offrant un premier aperçu du riche patrimoine artistique de la ville.
2. Fontana delle Bagnati

o Caractéristiques : Une fontaine moins connue mais néanmoins charmante, dont l’eau claire contraste avec la pierre blanche. Souvent ignorée par les foules, elle dévoile un côté plus intime de Rome.

3. Palazzo del Quirinale
o Histoire : Ancienne résidence pontificale, puis royale, ce palais est aujourd’hui la résidence officielle du Président de la République italienne.
o Architecture : Construit à la fin du XVIe siècle, il arbore un style Renaissance tardif, agrémenté de fresques et de somptueuses salles d’apparat.

Villa Carlo Alberto al Quirinale
o Petit joyau : Située dans le quartier du Quirinal, cette villa témoigne de l’empreinte aristocratique de la zone, autrefois prisée par l’élite romaine.
Piazza del Quirinale
o Attraction : La majestueuse place abrite un obélisque et une fontaine ornée de statues colossales représentant Castor et Pollux.
o Vue panoramique : Elle offre un beau point de vue sur la ville et sur la coupole de la Basilique Saint-Pierre, au loin.
Piazza Scanderbeg
o Origine : Elle doit son nom à Georges Kastriot Skanderbeg, héros national albanais, qui séjourna brièvement à Rome.
o Ambiance : Ses ruelles étroites confèrent au lieu un charme discret, typiquement romain.
Piazza Poli
o À proximité de la Fontaine de Trevi : Cette place est le point d’accès à l’une des fontaines les plus célèbres du monde, la Fontaine de Trevi, que nous pourrons apercevoir dans les environs.
Piazza Colonna
o Symbole : Au centre se dresse la colonne de Marc Aurèle, érigée au IIe siècle pour célébrer les victoires de l’empereur sur les tribus germaniques.
o Bâtiments officiels : Entourée de palais gouvernementaux, c’est un lieu stratégique de la vie politique italienne.
9. Piazza di Monte Citorio
o Lieu institutionnel : Siège de la Chambre des députés italienne (Montecitorio), réalisé sur un dessin de Bernin et de Carlo Fontana. 10. Temple d’Hadrien
o Vestiges antiques : Construit en 145 apr. J.-C. par Antonin le Pieux en l’honneur d’Hadrien. Il ne subsiste aujourd’hui qu’une colonnade monumentale intégrée à un édifice plus récent.
o Emplacement : Au cœur d’une place (Piazza di Pietra) qui tire son nom des blocs de pierre antique encore visibles.
Pause déjeuner

Après-midi – Panthéon et merveilles alentour

1. Le Panthéon
o Fondation : Érigé au Ier siècle av. J.-C. et reconstruit sous Hadrien au IIe siècle,

il reste l’un des édifices les mieux conservés de la Rome antique.
o Caractéristique majeure : Son imposante coupole, jadis la plus grande du

monde, et l’oculus central laissant filtrer la lumière naturelle.

2. Églises et chapelles environnantes

 Sant’Ignazio di Loyola (dont la voûte en trompe-l’œil est remarquable)  Santa Maria Sopra Minerva (dernière église gothique de Rome,

abritant la statue du Christ ressuscité de Michel-Ange)
o Saint-Louis-des-Français : Église célèbre pour ses toiles de Caravage

consacrées à la vie de Saint Mathieu. 3. Piazza Navona

o Ancien stade de Domitien : Son tracé allongé reprend le contour de l’arène antique.

o Fontaines baroques : La plus célèbre, la Fontaine des Quatre Fleuves (du Bernin), célèbre pour sa représentation allégorique des grands fleuves du monde. o Ambiance : Centre névralgique de la Rome artistique, où se côtoient peintres de rue, terrasses de café et palais Renaissance.

Retour à l’hôtel

9h00 – Départ pour les Catacombes

1. Acquario Romano
o Histoire : Construit à la fin du XIXe siècle, il fut initialement dédié à l’étude de la faune aquatique.
o Architecture : Son style éclectique, ponctué d’arcs et de fenêtres en fer forgé, en fait un bâtiment remarquable.

2. La Porte Magique (Porta Alchemica)
o Datation : Datant du XVIIe siècle, elle se trouve dans les jardins de la Piazza Vittorio Emanuele II.
o Légende : La porte serait couverte de symboles alchimiques dont le secret n’a jamais été percé.
o Ambiance : À la fois mystérieuse et pittoresque, elle offre un aperçu de l’intérêtpour l’alchimie et l’ésotérisme à Rome à cette époque.

3. Giardini di Piazza Dante

o Espaces verts : Ces jardins offrent un moment de répit parmi les palmiers, les bancs ombragés et les monuments commémoratifs.

4. Scala Santa
o Lieu sacré : Selon la tradition chrétienne, il s’agirait de l’escalier que Jésus aurait gravi lors de son procès à Jérusalem, ramené à Rome par Sainte Hélène.

o Visite : De nombreux pèlerins montent ces marches à genoux, en signe de dévotion.
o Architecturalement : L’édifice qui l’entoure (le Sancta Sanctorum) recèle des fresques et ornements datant de différentes époques.

5. Porta Latina

o Vestige antique : Partie des anciens remparts de Rome, construits par l’empereur Aurélien au IIIe siècle.

o Rôle historique : Située sur la voie Latine, cette porte ouvrait la route vers le Sud de l’Italie.

o Pause déjeuner

14h30 – Visite des Catacombes de Saint-Calixte

Informations historiques : Datant du IIe siècle, elles abritent les tombes de plusieurs papes et martyrs chrétiens.
Parcours : Vous découvrirez un labyrinthe souterrain de galeries funéraires, illustrant la foi et la vie religieuse de la Rome antique.
Retour à l’hôtel

Journée Musées & Découvertes

Visite des musées romains importants : Nous consacrerons cette matinée à ladécouverte de quelques musées majeurs de Rome (Capitole, Galerie Borghèse…)

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Saint Elme

Voyage Rome 3èmes latinistes

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